Covid19 et "vaccin" à ARNm
Interview du Professeur Dolores Cahill biologiste moléculaire et immunologiste, de la généticienne Alexandra Henrion-Caude et de Michael Yeadon ex directeur de recherche chez Pfizer.
Le professeur Dolores Cahill est un expert de renommée mondiale dans le développement et l'automatisation des technologies protéomiques à haut débit, les puces à protéines à haut contenu et leurs applications biomédicales, notamment dans la découverte de biomarqueurs et les diagnostics. Le professeur Dolores Cahill a reçu son diplôme de génétique moléculaire de TrinityCollège de Dublin (1989) et son doctorat en immunologie et biotechnologie de la ville de DublinUniversité (1994). Elle a obtenu un diplôme postdoctoral de l'UE sur le thème "Capital humain et mobilité".Boursier de l'Université technique de Munich, Allemagne (1994-1995). Le professeur Cahill est devenu le groupeleader du groupe de technologie des protéines à l'Institut Max-Planck de génétique moléculaire,Berlin, Allemagne (1996-2003). Elle a obtenu un poste de professeur associé, départementde pharmacologie clinique/Directeur du noyau de protéomique, RCSI, Dublin (2000-2005). DepuisDepuis 2005, elle est professeur de sciences translationnelles à l'école de médecine de l'UCD. Le Prof. Cahill est reconnue internationalement pour ses recherches biomédicales, ses publications et son brevetLe dossier est dans les sciences de la vie, la biotechnologie et dans les soins de santé personnalisés et les biomarqueurs(PHB), la protéomique, la biotechnologie, les réseaux de protéines et d'anticorps à haute teneur, et leursles applications biomédicales, diagnostiques et cliniques...suite (en Anglais) ici
En 1997, elle soutient sa thèse sur les gènes USF dans la régulation du glucose[3], et reçoit le Prix de la Fondation Nestlé[4]. Elle poursuit sa carrière aux États-Unis en neurobiologie au Joslin Diabetes Center à Harvard Medical School à Boston[5] et au Salk[6].
En 2013, elle devient boursière Eisenhower et explore les possibilités de diminuer les coûts en santé[7],[8], comme les nouveaux contours de la science avec plusieurs Prix Nobel aux Molecular Frontiers sous l'égide de la Fondation Nobel, de l'Académie Royale des Sciences de Suède et de l'Université de Corée[9].
En 2015, elle contribue au lancement du manifeste du juste soin au juste coût[10]. Ses interrogations sur la possibilité de construire des ponts entre les connaissances ancestrales et une médecine de pointe l'amènent en Afrique. Elle promeut l'engagement des femmes dans la science avec la Présidente de la République de Maurice[11], et démontre le défi que pose le changement climatique en matière de santé[12]. Outre ses engagements personnels en bioéthique[13] et dans le monde associatif[14], ses résultats concernent la maladie de Hirschprung, le syndrome de Ravine[15],[16], les microARN[17] dont les mitomiRs pour lesquels son étudiante Simonetta Bandiera reçoit le Prix de la Fondation Jérôme Lejeune[18].
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