Big Pharma achète pour 40 millions de dollars le silence du Dr Hill afin d’enterrer l’ivermectine
Le 18 janvier 2021, lors d’une conversation avec le Dr Tess Lawrie, le Dr Andrew Hill, qui a étudié et promu les propriétés de l’ivermectine pour le traitement du covid, a reconnu avoir préféré les dollars aux vies humaines. L’université de Liverpool, dont il est chercheur principal au département de pharmacologie et de thérapeutique, a reçu 40 millions de dollars d’UNITAID.
L’UNITAID est soutenue par le lobby des vaccins, dont la Fondation Bill et Melinda Gates. Andrew Hill a admis que ses sponsors ont fait pression pour modifier ses conclusions. En effet, l’article est optimiste : « L’ivermectine a permis de réduire significativement la durée d’hospitalisation, significativement plus courte que celle du groupe témoin ». En revanche la conclusion est totalement inverse : « De nombreuses études incluses n’avaient pas encore été publiées ou revues par des pairs. Les méta-analyses sont sujettes à des problèmes de confusion. En outre, les normes de soins variaient considérablement d’un essai à l’autre, et la dose d’ivermectine et la durée du traitement étaient hétérogènes. L’ivermectine doit être validée dans des essais randomisés de plus grande envergure, randomisés et contrôlés. » Le rédacteur de la conclusion n’est de toute évidence pas le même que celui du corps du texte.
Les effets de la lâcheté du Dr Andrew Hill et de l’avidité de Big Pharma
Transcription du dialogue entre le Dr Hill et le Dr Lawrie sur l’ivermectine.
La censure des publications scientifiques
À lire cette note éditoriale, l’article du Dr Hill sur l’ivermectine a été carrément enterré : « Le 6 juillet 2021, Open Forum Infectious Diseases a publié une version de ce préprint. Les auteurs ont appris par la suite que l’une des études sur lesquelles cette analyse était basée avait été retirée en raison de données frauduleuses. Une déclaration de préoccupation a été publiée le 9 août 2021. Les auteurs ont soumis une version révisée excluant l’étude problématique, et l’article publié initialement a été rétracté. La version révisée est désormais disponible sur le site du journal. »
Le rouleau compresseur des médias grand public
Le 13 octobre 2021, le Guardian (financé par la Fondation Bill & Melinda Gates) a offert une page de publicité pour les vaccins et, bien entendu, contre l’ivermectine. Elle est signée Andrew Hill ! Disons que le rédacteur n’a eu aucun scrupule à utiliser la signature du chercheur (lequel a déjà accepté que Big Pharma réécrive la conclusion de son étude sur l’ivermectine). Voici l’article : « Nous avons […] trouvé plusieurs exemples de fraude médicale dans les essais cliniques de l’ivermectine : certaines bases de données avaient été tout simplement inventées par des médecins peu scrupuleux. Lorsque nous avons éliminé tous les essais cliniques de mauvaise qualité, l’ivermectine ne présentait plus aucun avantage clinique. […] Après notre reportage sur la fraude médicale en juillet 2021, les abus ont empiré. On m’a envoyé des images de criminels de guerre nazis pendus à des lampadaires, des images vaudoues de cercueils qui se balancent, des menaces vives selon lesquelles ma famille n’était pas en sécurité, que nous allions tous brûler en enfer. […] Ma réputation scientifique a également été menacée par courrier électronique. Je connais de nombreux autres scientifiques qui ont été menacés et maltraités de la même manière après avoir encouragé la vaccination ou remis en question les avantages de traitements non éprouvés comme l’ivermectine. Si les scientifiques ne peuvent pas communiquer par peur des menaces et des abus, comment peut-on contrôler toute la désinformation ? Si nous laissons cette désinformation se répandre sans contrôle, il y a un réel danger que les gens ne se fassent pas vacciner — ils croiront qu’ils peuvent prendre un traitement alternatif et être protégés, même s’il n’y a aucune preuve réelle. Ces personnes pourraient alors être infectées, hospitalisées et même mourir du Covid. Il y a tellement de patients non vaccinés qui sont hospitalisés au Royaume-Uni, alors qu’ils auraient pu faire un choix différent avec les bonnes informations. »
Big Pharma fait feu de tout bois : des articles scientifiques réécrits aux ragots de la presse poubelle, tout est bon pour éviter qu’un traitement puisse guérir du covid et empêcher la vente de vaccins. À l’ivermectine, l’université de Liverpool donnait la préférence au molnupiravir plus rentable (710 $ la dose aux États-Unis). Un traitement tellement prometteur (de dividendes) que Oliver Véran a annoncé le 26 octobre en avoir commandé 50 000 doses pour 30 millions d’euros. Mais patatras ! la Haute Autorité de Santé a refusé de l’autoriser. Deux fonctionnaires du ministère de la Santé de l’île Maurice en ont commandé. Résultat : ils se retrouvent en prison. Olivier Véran est toujours en liberté. Tout cela pour vendre (très cher) des médicaments ou de pseudo vaccins, quand des molécules d’un prix ridicule peuvent soigner. Rappelons que la boîte de 4 comprimés d’ivermectine ne coûte que 8,53 €.
Commentaires
Enregistrer un commentaire