Si le motif sanitaire est bidon, quelle est donc la vraie motivation du covidisme et du vaccinalisme actuels ?
Par Jean-Yves Jézéquel
Les chiffres disent que nous avons totalisé 40 malades de la covid-19 variant Omicron en une semaine pour 100 000 habitants en France (0,04% de la population sur une semaine). Ce chiffre a été donné par plusieurs réseaux dont le réseau Sentinelle.
En une semaine 12,9 malades ont été hospitalisés pour 100 000 habitants (2,8 admissions en soins critiques pour 100 000 habitants). Pour 100 000 habitants, il y a 5800 lits d’hôpitaux. Les hôpitaux ne sont donc pas submergés de malades covid Omicron, contrairement aux mensonges diffusés comme d’habitude par les médias et certains médecins collaborateurs de cette campagne de propagande.
Le « terrible » Omicron, représente 40 malades d’un gros rhume pour 100.000 habitants ! Tout le cinéma répressif actuel qui est organisé autour de la fausse pandémie, par les pervers au pouvoir, et leurs dévoués serviteurs, est une fois de plus pitoyable !
La comédie criminelle qui est jouée par les irresponsables de l’Etat profond, persiste dans sa conviction délirante et veut farouchement avoir le dernier mot sur toutes les résistances qui se sont organisées contre sa représentation… Pourquoi cet acharnement qui en devient énigmatique ?
Nous disions, écrivions et publiions il y a déjà bien longtemps, que ce monde du capitalisme ultra libéral était un mensonge, une erreur de civilisation, un mal, auquel il fallait mettre fin sans tarder, car les immenses dégâts qu’il avait causés étaient considérables et continuaient de l’être pour l’humanité et la biosphère dans son ensemble.
Les Gilets Jaunes avaient fait leur « Vrai Débat », du 29 janvier au 3 mars 2019, sur le nouveau monde à mettre en place. (Cf., Le rapport du 27 mars 2019, qui a été réalisé pour les Gilets Jaunes, suite au ‘vrai débat’, par LERASS, Laboratoire d’Études et de Recherches Appliquées en Sciences Sociales de l’Université de Toulouse.) Les Gilets Jaunes représentaient la plus grande aspiration de l’humanité : celle de la liberté, de la fraternité, de l’équité, de la justice sociale, de la paix dans la réalité de l’existence confrontée naturellement aux changements, aux altérations du monde dont la nature perpétuellement évolutive est foncièrement initiatique…
On ne peut plus aborder la question de la fausse pandémie sans faire référence au « Great Reset » : l’un éclaire l’autre, le second explique le premier.
Ainsi donc, le « Great Reset » dit lui aussi que le monde post-covidien ne redeviendra jamais plus comme celui que nous avions connu dans l’anté-covidien !
Enfin le grand changement tant attendu !
Mais voici qu’un bouleversement civilisationnel allait nous être annoncé, mettant en avant ce qu’allait être désormais l’ère d’un « transhumanisme » qui prétend éradiquer la mort, atteindre le bonheur et l’omnipotence !
Vous vouliez le changement ? Vous voilà servis : on vous annonce un grand changement, le « Great Reset » !
On le dit déjà depuis le début de cette fausse pandémie : les incohérences ont été tellement nombreuses, sidérantes, incompréhensibles, qu’il était impossible de croire qu’une équipe de « responsables politiques », « scientifiques », « médecins », personnel sanitaire, puissent à ce point-là errer dans l’amateurisme, l’aberration et la supercherie obscurantiste…
Lorsqu’on a vu les plus éminents spécialistes de France condamnés, censurés, arrêtés, interdits d’exercer la médecine, nous avons compris que le sujet ne pouvait pas être la « pandémie » ni le « SARS-COV-2 », et cela a été désormais prouvé aujourd’hui, mais que toute cette mise en scène mensongère n’était que le déguisement, le prétexte nécessaire à l’application d’un plan non déclaré, non avoué, caché aux yeux des populations qui n’auraient jamais accepté d’entrer dans un tel projet que le programme du Forum Economique Mondial de Davos appelle le « Great Reset »…
Nous devons nous poser des questions toutes simples sur deux niveaux, pour une clarification indiscutable de ce qui est en cause :
1 – Puisque la motivation sanitaire est totalement bidon, dans cette affaire du fanatisme covidiste et du radotage pervers sur des « vaccins » qui n’en sont pas, que révèlent donc « l’Agenda 2030 », le programme écrit et publié intitulé « The Great Reset », par les auteurs décomplexés de cette théorie idéaliste et de la violence sociétale qu’elle implique?
2 – Quel est le réel contenu de ces « vaccins » qui sont crapuleusement imposés aux peuples d’Occident et pourquoi ce contenu n’a pas été dévoilé par les laboratoires eux-mêmes ? Pourquoi a-t-on caché la nature réelle des injections à ARNm ? Pourquoi les députés européens ne pouvaient pas accéder aux informations « sensibles » inscrites dans le contrat signé entre les laboratoires pharmaceutiques et l’Union Européenne et engageant les milliards d’euros d’argent public ? Pourquoi des chercheurs indépendants ont-ils été obligés de travailler, parfois plus de 20.000 heures, pour analyser eux-mêmes des échantillons de ces « vaccins », afin d’être en mesure de nous informer sur ce qui aurait dû être annoncé d’emblée, par respect pour un « consentement libre et éclairé » de ceux qui seraient dans l’obligation de se faire injecter ces produits expérimentaux ?
Voilà les questions auxquelles nous allons tenter de répondre.
1 – LE « GREAT RESET » : UN NÉO-FÉODALISME
Dans le programme publié par Klaus Schwab, le fondateur du Forum Economique Mondial de Davos, « The Great Reset », nous pouvons retenir l’essentiel en quelques points permettant de comprendre où cela nous mène. Cf., traduction française COVID-19 : La grande réinitialisation, Klaus Schwab, Forum Publishing, 2020.
Selon le créateur du Forum Economique Mondial de Davos, la « pandémie » du Coronavirus constitue « une fenêtre d’opportunité » qu’il fallait saisir absolument, car elle était une « chance » pour nous !
Klaus Schwab écrit, page 110 du « Great Reset » : « Dans le cas de la pandémie, le lien de causalité entre le virus et la maladie est évident : Le SRAS-CoV-2 est à l’origine de la COVID-19. Hormis une poignée de théoriciens du complot, personne ne le contestera. »
Remarquons déjà que cette affirmation implique un a priori qui n’est même pas discuté alors qu’il est sérieusement discutable ! Cette affirmation hautement « manipulatrice » est radicalement fausse, puisque le SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé, purifié, identifié comme tel chez les malades de la Covid-19. Quant à ceux qui en sont morts, les autopsies ont toujours été interdites. On ne pouvait pas savoir ce qu’il en était exactement puisque tous les chiffres ont été falsifiés depuis le début, comme nous l’avons vu depuis si longtemps, le but étant de fomenter la peur justifiant une recherche du consentement (non éclairé) du grand nombre, pour une « vaccination » qui se faisait passer comme telle, alors qu’elle ne proposait que des injections dont nous allons voir quel en est le contenu et la véritable nature. Tous types de morts, suite aux multiples maladies existantes, étaient déclarés « morts de la COVID ou morts avec la COVID »…
On connaît finalement le pourcentage très faible que représentent réellement les morts dus à la Covid-19 : en novembre 2021, on en était à 0,06% de la population mondiale.
Mais, le « Great Reset » ou « La Grande Réinitialisation » a des intentions hautement morales.
Le « Great Reset » annonce :
« Il s’agit de rendre le monde moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste que celui dans lequel nous vivions à l’ère pré-pandémique. Ne rien faire, ou trop peu, revient à avancer aveuglément vers toujours plus d’inégalités sociales, de déséquilibres économiques, d’injustice et de dégradation de l’environnement … »
Les intentions sont exemplaires : les maîtres du capitalisme ultra libéral, responsables du désastre commencé en 1976 par les accords de la Jamaïque abolissant ceux de Bretton Woods (Juillet 1944), annoncent aujourd’hui vouloir changer le capitalisme !
Pour y parvenir, la FEM propose « d’orienter l’économie vers des résultats plus équitables, canaliser les investissements pour « construire mieux », développer des infrastructures et techniques de construction qui ne dégradent pas l’environnement et se servir de la quatrième révolution industrielle pour notre bien ». Cette quatrième révolution industrielle est celle de l’automatisation des machines par l’intelligence artificielle et la généralisation des « énergies vertes ». C’est elle qui, en grande partie, mènerait à « un monde plus vert, plus juste et plus prospère ».
Klaus Schwab expliquait dans le journal allemand Die Zeit, que « le néolibéralisme a fait son temps (…) sa défaillance a été mise à nu par la crise de la Covid-19 qui a exacerbé les inégalités sociales ». Bien avant la fausse pandémie du Coronavirus, les Gilets Jaunes avaient dénoncé les « inégalités sociales » et mis à nu les « défaillances de l’ultra libéralisme » ! Le Grand Maître du Forum de Davos définit le néolibéralisme comme « un capitalisme non réglementé et sans restriction ». Il dit vouloir « privilégier un capitalisme responsable qui s’attaque à deux défis majeurs que sont l’écart grandissant entre les riches et les pauvres, et la crise climatique. »
La solution réside — selon Klaus Schwab et le projet de Grande réinitialisation — dans une « redéfinition du capitalisme, pour prendre en compte le capital financier, mais aussi le capital social, le capital naturel et le capital humain. »
Voilà qui est si réconfortant et tellement humaniste ! Mais, les Gilets Jaunes n’avaient pas été « une fenêtre d’opportunité » pour un grand changement ! La vraie insurrection des Gilets Jaunes devait être remplacée par la fausse pandémie, pour entraîner un vrai changement ! On peut déjà se dire que ce changement, le « Great Reset », construit à partir d’un mensonge, a toutes les chances d’être l’enfant bâtard de ce mensonge …
« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux… »
Que dit le « Great Reset » ? Il s’agit en fait de créer une classe supérieure en réunissant ceux qui sont très bien placés dans l’industrie et la politique. Il faut ensuite paralyser la classe moyenne sur le plan économique, de sorte qu’elle n’ait plus le pouvoir de prendre ses propres décisions de vie. Puis, il s’agit d’offrir une dépendance considérablement accrue à l’égard de l’État profond pour soulager les difficultés économiques créées par l’État profond. Au final, il est question de supprimer les libertés, en échange de la promesse de largesses de la part des États profonds dirigés et contrôlés par la caste stato-financière qui les a incrustés.
Après tout cela, il est question d’instaurer un régime autoritaire puis totalitaire pour garantir la pérennité des nouveaux paradigmes de la société post-covidiste idéalisée.
Une fois que les contrôles seront pleinement mis en œuvre (grâce aux injections à ARNm : nous reviendrons sur ce sujet) et que la population sera devenue dépendante du nouveau système, le NOM commencera à supprimer les promesses faites dans sa propagande. L’idée qui sous-tend ce dernier point est que, lorsque les Etats Nations seront totalement dépendants des États profonds, ils auront perdu le pouvoir de s’opposer ou de se rebeller si les droits sont supprimés. Les Etats Nations seront alors totalement dominés.
Une vidéo du professeur Schwab présente l’état idyllique dans lequel les gens pourront se débarrasser de toutes les dettes personnelles, des bouleversements politiques et des troubles sociaux (Gilets Jaunes) qui éclataient si fréquemment jusqu’à présent.
La solution proposée est de céder son droit à la propriété de manière permanente, en échange d’une vie où la responsabilité serait minimale.
Selon le « Great Reset », le gouvernement aura le contrôle total de tous les aspects de votre vie, ainsi que la tâche d’éliminer tout obstacle à votre bonheur. Tout d’abord, vous renoncerez à tous vos droits au début de l’accord. Vous aurez perdu tous vos biens et toutes vos libertés. Vous dépendrez à 100 % de l’État profond. En échange de quoi « Le gouvernement mondial vous fournira un revenu de base. » Bien entendu, l’Etat profond nous inspire tellement la confiance, qu’il est évident que nous allons tous ensemble nous précipiter à ses pieds et accepter ce deal néo-féodaliste sans sourciller!
Vous louerez tout ce dont vous avez besoin : une résidence, un véhicule, des appareils électroménagers et même vos vêtements. Et surtout, vous serez heureux. Il n’y aura plus de guerres (comme si les peuples étaient responsables des guerres que seuls les Etats profonds leur ont infligées). Une « poignée de pays » (entendre « d’Etats profonds collaborateurs ») dirigera le monde en coopération. Il n’y aura plus d’attente pour des soins médicaux, puisque ceux-ci seront assurés « on line ».
« Il y aura un prix mondial pour les émissions de carbone. » Ceux qui utilisent des combustibles fossiles seront taxés pour leur utilisation. Autrement dit, les plus gros pollueurs industriels pourront polluer allègrement en payant cette taxe qui sera aussitôt répercutée dans les prix des ventes. Les « consommateurs » seront donc à nouveau dans la logique ultra libérale et les otages d’une organisation du pillage : rien de différent !
Toutes les choses qui ont été promises ou mises à votre disposition pourront évidemment être retirées une à une, jusqu’à ce que vous soyez à la fois serviable et appauvri. Vous n’aurez pas la capacité de vous rebeller ou même de vous plaindre. Dans ce néo-féodalisme, vous serez dans un rapport de pur servage à l’autorité : il faudra vivre à genoux face à votre seigneur tout puissant ! On vous dira, « ne méprise pas la main qui te nourrit ! » Ou encore, « Ne crache pas dans la soupe que le Maître t’a servie ! »
La violence exceptionnelle des problèmes sociaux, politiques et économiques qui caractérise le désastre actuel, a été causée par les choix des dirigeants politiques. Or, ce sont les mêmes qui vous demandent maintenant de leur faire confiance pour mettre fin à ces problèmes.
Les élites mondialistes veulent promouvoir des politiques telles que les taux d’intérêt négatifs, l’abolition de l’argent liquide et la migration de masse. Tout cela s’annonce comme un désastre de classe mondiale.
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