UN LABORATOIRE SECRET D'ARMES BIOLOGIQUES DE L'OTAN DANS LES SOUTERRAINS DE MARIUPOL ?
Par Piero Messina
Dans le sous-sol de l'Azovstal de Mariupol se trouverait une installation secrète de l'OTAN, gérée conjointement avec Metabiota. Un laboratoire d'armes chimiques et biologiques dont l'existence doit être cachée au monde entier. Voici ce que les forces spéciales russes recherchent dans les cachots de Mariupol. Au cours des combats de ces dernières heures, certains centres de commandement, groupes et sièges de mercenaires ukrainiens ont été touchés, détruisant également une grande partie du matériel militaire qui vient d'arriver de l'Ouest. Le port de Mariupol est sous le contrôle de l'armée russe, mais les combats continuent. Mariupol abrite la zone industrielle Azovstal, une entreprise appartenant à l'oligarque Rinat Akhmetov.
Invisibles à l'œil, les réseaux souterrains de l'Azovstal seraient un réseau de 24 km de tunnels atteignant une profondeur de 30 mètres. A quoi pouvaient-ils bien servir ? Selon la reconstitution du journaliste d'investigation Pepe Escobar, ces tunnels souterrains abriteraient une installation secrète de l'OTAN appelée PIT-404. et un biolab qui serait géré par Metabiota, une société associée à Hunter Biden, Rinat Akhmetov et le gouvernement de Kiev.
Dans le sous-sol des deux aciéries d'Azovstal, environ trois mille soldats et combattants sont encore cachés. Dans la reconstitution fournie par Escobar, on raconte la présence de plusieurs conseillers militaires de pays de l'Alliance atlantique. L'installation secrète de l'OTAN serait sous le commandement du lieutenant-général américain Roger L. Cloutier, qui a été arrêté par les milices du DNR lors d'une tentative de fuite en hélicoptère.
Le laboratoire Pit-404, toujours selon les reconstitutions d'Escobar, serait une structure dédiée à l'étude des armes chimiques et biologiques. Plus de trois cents consultants militaires seraient piégés dans les tunnels, des officiers d'Allemagne, du Canada, des États-Unis, de France, d'Italie, de Pologne, de Turquie, de Suède et de Grèce.
Il serait lié au siège des souterrains d'Azovstal, à l'éviction d'Eric Vido, chef du renseignement militaire français. Le général Vido a été limogé après seulement sept mois de mandat par le président Macron "pour des déficiences dans le travail de renseignement pendant la crise ukrainienne". Ces derniers jours, une vidéo publiée sur les médias sociaux, un béret vert de la Légion française a été retrouvé. La situation dramatique des cachots de Marioupol suffit à expliquer les efforts diplomatiques de la France et de l'Allemagne pour créer des couloirs humanitaires utiles pour exfiltrer les officiers étrangers qui ne devraient pas être là. Si Marioupol est devenu l'épicentre de la confrontation et est défendu avec autant d'acharnement, c'est parce qu'il est depuis des années le centre de l'agression dans le Donbass et l'une des pierres angulaires de l'OTAN en Ukraine. Sous la pression de l'armée russe, barricadée dans les tunnels, il y aurait donc non seulement les troupes ukrainiennes mais aussi des officiers et des consultants de l'OTAN.
Avec la conquête définitive du port de Marioupol, les Russes ont le contrôle total de la côte de la mer d'Azov et leur permet de sceller le pont terrestre qui relie le continent de la Fédération de Russie à la Crimée. C'est également un élément clé pour sécuriser l'approvisionnement en eau de la Crimée, qui avait été coupé par l'Ukraine.
Commentaires
Enregistrer un commentaire